INFOS

L'Ostéopathie en questions
L'Ostéopathie en questions

POUR  QUOI ?

Motif de consultation

Toute maladie ou affection pouvant être résorbée ou soulagée
par une intervention manuelle

POUR  QUOI ?

Motif de consultation

Toute maladie ou affection pouvant être résorbée  ou soulagée par une intervention manuelle

Blocage lombaire
Dorsalgie
Défilé costo-claviculaire
Paresthésies
Raideur matinale
Épicondylite
Douleurs sacro-illiaques
Canal carpien
Céphalées
Contractures
Gène inspiratoire
Talalgie
Lombalgie
Gonalgie
Tensions musculaires
Tennis-elbow
Aponévrosite plantaire
Torticolis
Algodystrophie
Entorse
Blocage lombaire
Dorsalgie
Défilé costo-claviculaire
Paresthésies
Raideur matinale
Épicondylite
Douleurs sacro-illiaques
Canal carpien
Céphalées
Contractures
Gène inspiratoire
Talalgie
Lombalgie
Gonalgie
Tensions musculaires
Tennis-elbow
Aponévrosite plantaire
Torticolis
Algodystrophie
Entorse
Blocage lombaire    Épicondylite    Tennis-elbow
Canal carpien    Lombalgie    Entorse
Douleurs sacro-illiaques    Talalgie    Torticolis
Aponévrosite.   Raideur matinale
Paresthésies   Céphalées    Contractures
 Défilé costo-claviculaire   Algodystrophie  
Gonalgie    Tensions musculaires    Dorsalgie
Sous réserve de l'absence de contre-indication à l'exercice d'une thérapie manuelle

Sous réserve de l'absence de contre-indication à l'exercice d'une thérapie manuelle

COMMENT ?

Clinique & Pratique

L' Ostéopathie est une médecine complémentaire (et non alternative) qui exercée dans un cadre scientifique repose sur 3 Piliers :
1) Un Diagnostic médical recherchant l'étiologie (les causes) et la symptomatologie (les effets) d'une pathologie. L' ostéopathe procède pour cela à une anamnèse (interrogatoire) et à un examen clinique complet (inspection, palpation, appréciation de la mobilité, etc). Un ostéopathe étant consultable en première intention, cette étape est primordiale pour déceler une éventuelle contre-indication aux soins ostéopathiques et peut légitimer la réorientation du patient vers son médecin (diagnostic différentiel) et/ou sa sollicitation afin d'envisager des examens complémentaires.
2) Un traitement rationnel adapté au tableau clinique et conforme à l'état des connaissances scientifiques. La thérapie est principalement basée sur le contact manuel (mobilisations des articulations, des membres, des tissus mous, etc) et le mouvement (contractions, étirements ou renforcements  musculaires, éducation posturale, etc).
3) Une prise en charge globale incluant des séances suffisamment longues et attentives des conseils pratiques & hygiéno-diététiques et un possible suivi thérapeutique afin de limiter la réapparition des troubles observés.

COMMENT ?

Clinique & Pratique

L' Ostéopathie est une médecine complémentaire (et non alternative)  qui exercée dans un cadre scientifique repose sur 3 Piliers :
1) Un Diagnostic médical recherchant l'étiologie (les causes) et la symptomatologie (les effets) d'une pathologie. L' ostéopathe procède pour cela à une anamnèse (interrogatoire) et à un examen clinique complet (inspection, palpation, appréciation de la mobilité, etc). Un ostéopathe étant consultable en première intention, cette étape est primordiale pour déceler une éventuelle contre-indication aux soins ostéopathiques et peut légitimer la réorientation du patient vers son médecin (diagnostic différentiel) et/ou sa sollicitation afin d'envisager des examens complémentaires.
2) Un traitement rationnel adapté au tableau clinique et conforme à l'état des connaissances scientifiques. La thérapie est principalement basée sur le contact manuel (mobilisations des articulations, des membres, des tissus mous, etc) et le mouvement (contractions, étirements ou renforcements  musculaires, éducation posturale, etc).
3) Une prise en charge globale incluant des séances suffisamment longues et attentives des conseils pratiques & hygiéno-diététiques et un possible suivi thérapeutique afin de limiter la réapparition des troubles observés.

QUI ?

Le statut

Les écoles

Le titre

Méfiez vous des contre-façons !
Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé :
" L'usage professionnel du titre d'ostéopathe est réservé aux personnes titulaires d'un diplôme sanctionnant une formation spécifique à l'ostéopathie délivrée par un établissement de  formation agréé par le ministre chargé de la santé dans des conditions fixées par décret. "
Le Décret n° 2014-1505 du 12 décembre 2014 relatif à la formation en ostéopathie impose
- Une formation en 5 ans de 4 860 heures
- Une pratique clinique encadrée de 1 500 heures incluant 150 consultations
Formation optimum =  1 Diplôme & 1 Titre :
A ce jour,  31 écoles sont agréées mais seules 14 sont reconnues au  Répertoire National des Certifications Professionnelles ( R.N.C.P. ).
Les ostéopathes inscrits au R.N.C.P. disposent d'un Diplôme et d'un Titre d'ostéopathe reconnu par l’État signifié sous l'appellation " Ostéopathe D.O. - T.O. ".
Profession Ostéopathe = Numéro ADELI :
Décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie :
Les ostéopathes doivent s'inscrire auprès de leur Agence Régionale de Santé afin de faire un usage professionnel de leur titre. Leurs références sont alors consultables par la communauté médicale et ils se voient délivrer un numéro d'identification dit " ADELI ".

QUI ?

Le statut

Méfiez vous des contre-façons !
Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé :
" L'usage professionnel du titre d'ostéopathe est réservé aux personnes titulaires d'un diplôme sanctionnant une formation spécifique à l'ostéopathie délivrée par un établissement de  formation agréé par le ministre chargé de la santé dans des conditions fixées par décret. "
Le Décret n° 2014-1505 du 12 décembre 2014 relatif à la formation en ostéopathie impose :
- Une formation en 5 ans de 4 860 heures
- Une pratique clinique encadrée de 1 500 heures incluant 150 consultations

Les écoles

Formation optimum =  1 Diplôme & 1 Titre :
A ce jour,  31 écoles sont agréées mais seules 14 sont reconnues au  Répertoire National des Certifications Professionnelles ( R.N.C.P. ).
Les ostéopathes inscrits au R.N.C.P. disposent d'un Diplôme et d'un Titre d'ostéopathe reconnu par l’État signifié sous l'appellation " Ostéopathe D.O. - T.O. ".

Le titre

Profession Ostéopathe = Numéro ADELI :
Décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie :
Les ostéopathes doivent s'inscrire auprès de leur Agence Régionale de Santé afin de faire un usage professionnel de leur titre. Leurs références sont alors consultables par la communauté médicale et ils se voient délivrer un numéro d'identification dit " ADELI ".

JUSQU’OÙ ?

Les limitations

Mobilisation ≠ Manipulation :
Décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie :
Pratiques autorisées :
Mobilisations  directes et indirectes, non forcées et non-instrumentales respectant l'anatomo-physiologie du patient dans le respect des recommandations de bonnes pratiques établies par la Haute Autorité de Santé.
Pratiques soumises à la délivrance par un médecin d'une attestation d'absence de contre-indication  à l'ostéopathie :
- Manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de six mois
- Manipulations du rachis cervical
Pratiques strictement interdites :
- Manipulations gynéco-obstétricales
- Touchers pelviens

JUSQU’OÙ ?

Les limitations

Mobilisation ≠ Manipulation :
Décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie :
Pratiques autorisées :
Mobilisations  directes et indirectes, non forcées et non-instrumentales respectant l'anatomo-physiologie du patient dans le respect des recommandations de bonnes pratiques établies par la Haute Autorité de Santé.
Pratiques soumises à la délivrance par un médecin d'une attestation d'absence de contre-indication  à l'ostéopathie :
- Manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de six mois
- Manipulations du rachis cervical
Pratiques strictement interdites :
- Manipulations gynéco-obstétricales
- Touchers pelviens
Histoire de l'Ostéopathie
Histoire de l'Ostéopathie
Hier
L'engouement pour l'Ostéopathie date de la fin du XIXème siècle dans une Amérique rurale encore marquée par la guerre de sécession. Préférant l'humilité du reboutement et le contact humain à une médecine qu'il juge invasive et déshumanisée  le " bon docteur " Andrew Taylor STILL, ainsi nommé par ses patients, fera rapidement des adeptes dans tout les États-Unis. Ce fils de pasteur horrifié par les soins prodigués à son époque et qu'il a lui même pratiqué comme barbier sur les champs de bataille formule et diffuse le concept d'Ostéopathie.

Bien que fondateur de la discipline, son apport reste paradoxal. D'un côté, il intensifiera l'étude des sciences mécanistes (L' Anatomie, la Physiologie, etc) et portera une attention nouvelle à l'écoute et au confort de sa patientèle (Psychologie, Diététique, etc). De l'autre il rejettera en bloc l'idée naissante de " microbe "  et nombre de technologies médicales (Médicaments, Injection, etc). L'Ostéopathie se construit sur quelques notions fondamentales (La structure et la fonction sont interdépendantes, Le corps a le pouvoir de surmonter la maladie, etc) qui permettront autant l'ouverture à de nouveaux champs de la connaissance que le confinement dans des concepts déistes qui glorifient les " miracles " de la nouvelle " panacée " ostéopathique.
Aujourd'hui
Nombre de disciples d' A.T. STILL ont progressivement fait évoluer le concept d’Ostéopathie en tentant de nouvelles approches avec l'Ostéopathie crânienne (W.G. SUTHERLAND), l'Ostéopathie viscérale (J.P. BARRAL) ou encore la Fasciathérapie (D. BOIS). Malheureusement cette évolution de la pratique mêle autant la recherche expérimentale vertueuse que l'ésotérisme le plus obscur et si certaines avancées semblent être scientifiquement dignes d'intérêt une grande partie demeure non-prouvée, invalidée voire accusée de dérive sectaire.

Avant la loi du 4 mars 2002 l'Ostéopathie était un exercice professionnel illégal pour les non-médecins. Les formations suivies laissaient parfois place aux concepts les plus farfelus et les législations successives ont atténué mais n'ont toujours pas mis fin à quelques pratiques plus magiques que scientifiques. Depuis quelques années, les écoles d'Ostéopathie se restructurent et la loi impose des critères de plus en plus drastiques afin de limiter les dérives en obligeant les établissements à dispenser un enseignement théorique scientifique pluridisciplinaire et une pratique conséquente et encadrée par des professionnels de Santé.
Demain
La grande majorité de la communauté médicale plaide pour une limitation plus sévère des agréments délivrés aux centre de formation afin de limiter l'afflux de candidats et de recadrer leur éventuelles pratiques douteuses. La Médecine basée sur les preuves rattrape doucement les lubies des ostéopathes qui commencent à se créer des programmes de recherche dignes de ce nom.

La Médecine ostéopathique est posée sur des bases humanistes et empathiques, il lui revient de les consolider afin de réaffirmer une relation soignant/soigné honnête et individualisée souvent mise à mal dans nos sociétés " modernes ".
Hier
L'engouement pour l'Ostéopathie date de la fin du XIXème siècle dans une Amérique rurale encore marquée par la guerre de sécession. Préférant l'humilité du reboutement et le contact humain à une médecine qu'il juge invasive et déshumanisée  le " bon docteur " Andrew Taylor STILL, ainsi nommé par ses patients, fera rapidement des adeptes dans tout les États-Unis. Ce fils de pasteur horrifié par les soins prodigués à son époque et qu'il a lui même pratiqué comme barbier sur les champs de bataille formule et diffuse le concept d'Ostéopathie.

Bien que fondateur de la discipline, son apport reste paradoxal. D'un côté, il intensifiera l'étude des sciences mécanistes (L' Anatomie, la Physiologie, etc) et portera une attention nouvelle à l'écoute et au confort de sa patientèle (Psychologie, Diététique, etc). De l'autre il rejettera en bloc l'idée naissante de " microbe "  et nombre de technologies médicales (Médicaments, Injection, etc). L'Ostéopathie se construit sur quelques notions fondamentales (La structure et la fonction sont interdépendantes, Le corps a le pouvoir de surmonter la maladie, etc) qui permettront autant l'ouverture à de nouveaux champs de la connaissance que le confinement dans des concepts déistes qui glorifient les " miracles " de la nouvelle " panacée " ostéopathique.
Aujourd'hui
Nombre de disciples d' A.T. STILL ont progressivement fait évoluer le concept d’Ostéopathie en tentant de nouvelles approches avec l'Ostéopathie crânienne (W.G. SUTHERLAND), l'Ostéopathie viscérale (J.P. BARRAL) ou encore la Fasciathérapie (D. BOIS). Malheureusement cette évolution de la pratique mêle autant la recherche expérimentale vertueuse que l'ésotérisme le plus obscur et si certaines avancées semblent être scientifiquement dignes d'intérêt une grande partie demeure non-prouvée, invalidée voire accusée de dérive sectaire.

Avant la loi du 4 mars 2002 l'Ostéopathie était un exercice professionnel illégal pour les non-médecins. Les formations suivies laissaient parfois place aux concepts les plus farfelus et les législations successives ont atténué mais n'ont toujours pas mis fin à quelques pratiques plus magiques que scientifiques. Depuis quelques années, les écoles d'Ostéopathie se restructurent et la loi impose des critères de plus en plus drastiques afin de limiter les dérives en obligeant les établissements à dispenser un enseignement théorique scientifique pluridisciplinaire et une pratique conséquente et encadrée par des professionnels de Santé.
Demain
La grande majorité de la communauté médicale plaide pour une limitation plus sévère des agréments délivrés aux centre de formation afin de limiter l'afflux de candidats et de recadrer leur éventuelles pratiques douteuses. La Médecine basée sur les preuves rattrape doucement les lubies des ostéopathes qui commencent à se créer des programmes de recherche dignes de ce nom.

La Médecine ostéopathique est posée sur des bases humanistes et empathiques, il lui revient de les consolider afin de réaffirmer une relation soignant/soigné honnête et individualisée souvent mise à mal dans nos sociétés " modernes ".
Sciences & Pseudo-Sciences
Sciences & Pseudo-Sciences

ÉTHIQUE

Les codes

Les Ostéopathe instituent de nombreux codes de déontologie via leur syndicats ou associations. Ceux-ci permettent de définir une éthique commune qui vient se superposer au règles de morales et codes déjà existants.
Article 39 - CHARLATANISME (article R.4127-39 du code de la santé publique) :
Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite.
Article 36 - CONSENTEMENT DU PATIENT (article R.4127-36 du code de la santé publique) :
" Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. "
" Le consentement doit être libre et éclairé. "

ÉTHIQUE

Les codes

Les Ostéopathe instituent de nombreux codes de déontologie via leur syndicats ou associations. Ceux-ci permettent de définir une éthique commune qui vient se superposer au règles de morales et codes déjà existants.
Article 39 - CHARLATANISME (article R.4127-39 du code de la santé publique) :
Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite.
Article 36 - CONSENTEMENT DU PATIENT (article R.4127-36 du code de la santé publique) :
" Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. "
" Le consentement doit être libre et éclairé. "

ZÉTÉTIQUE

L'art du doute

Ma Démarche :
Étant donné ma formation universitaire et conformément à la loi et aux recommandations éthiques, j'ai à cœur de ne pratiquer QUE des techniques manuelles non réfutées par la science.
- Cela ne limite pas ma pratique et met au contraire à ma disposition de nombreux outils.
- Cela m'interdit de délivrer des protocoles fallacieux, bien que répandus et dits "ostéopathiques".
- Cela m'oblige à vérifier la légitimité logique et efficacité expérimentale de chaque thérapie.
- Je m'engage à informer ma patientèle sur le potentiel curatif des techniques utilisées.
La Démarche scientifique :
Les sciences produisent des connaissances se rapprochant le plus possible des faits observables. Dans son cadre, la science est non dogmatique et ouverte à la critique constructive.
- La démarche scientifique est un cheminement cognitif extrêmement rigoureux
- La charge de la preuve appartient à celui qui affirme un fait
- Ce qui est affirmé sans preuves peut-être nié sans preuves
- La science est le seul processus de connaissance auto-correctif
- La plus grande partie des connaissances scientifiques est librement accessible (voir ci-dessous)

ZÉTÉTIQUE

L'art du doute

Ma Démarche :
Étant donné ma formation universitaire et conformément à la loi et aux recommandations éthiques, j'ai à cœur de ne pratiquer QUE des techniques manuelles non réfutées par la science.
- Cela ne limite pas ma pratique et met au contraire à ma disposition de nombreux outils.
- Cela m'interdit de délivrer des protocoles fallacieux, bien que répandus et dits "ostéopathiques".
- Cela m'oblige à vérifier la légitimité logique et efficacité expérimentale de chaque thérapie.
- Je m'engage à informer ma patientèle sur le potentiel curatif des techniques utilisées.
La Démarche scientifique :
Les sciences produisent des connaissances se rapprochant le plus possible des faits observables. Dans son cadre, la science est non dogmatique et ouverte à la critique constructive.
- La démarche scientifique est un cheminement cognitif extrêmement rigoureux
- La charge de la preuve appartient à celui qui affirme un fait
- Ce qui est affirmé sans preuves peut-être nié sans preuves
- La science est le seul processus de connaissance auto-correctif
- La plus grande partie des connaissances scientifiques est librement accessible (voir ci-dessous)

INFORMATION

Quelques sources...

INFORMATION

Quelques sources...
Share by: